Pour un habitat dense individualis pdf




















Sociologie des mouvements sociaux. Paris : Editions Yves Michel, , p. Paris : Armand Colin, , p. Collection U, Sociologie. Anthropologie de l'espace : habiter, fonder, distribuer, transformer. Fribourg : Academic Press Fribourg, , p. Collection Res socialis, vol. L'habitat alternatif : quoi de neuf? Le quartier Vauban. Architectes militants et hybridation des savoirs.

Habicoop, pour soutenir un autre vivre ensemble. Le Village vertical : un projet de vie autrement. Habitat, habitation, habiter. Les Babayagas, vieillir solidaire. Quand bien vieillir rime avec vivre ensemble. Quartier Vauban, laboratoire de la ville durable.

Ecological footprint Atlas Rapport en anglais. JUND, Alain. Working paper. Guide pratique. Habicoop, , 8 p. Habicoop, , 10 p. Principes gnraux de lintervention publique Freins, leviers et rle de ltat dans la Silver conomie Communication et sensibilisation Labellisation et normalisation Mobilisation de lpargne Encapsuler une partie de la filire dans lhabitat collectif ou le homecare Annexe Personnes auditionnes Synthse Dans les socits dveloppes, le vieillissement de la population, dabord explicable par lallongement de lesprance de vie, se trouve acclr par lavance en ge des cohortes de baby-boomers.

Cette volution dmographique pose dimmenses dfis en termes de financement de nos systmes de sant et de retraites. Dans quelle mesure le march en pleine expansion des seniors peut-il tre source de croissance pour lconomie franaise? Comment les pouvoirs publics peuvent-ils encourager la ralisation de ce potentiel de croissance?

Peut-on envisager le dveloppement dune Silver 1 conomie servant de levier des secteurs comme les services ou les technologies 2 avances domotique, robotique, e-autonomie , dispositif mdical, etc. Ce double phnomne du vieillissement est trs accentu en France. Deuximement, lesprance de vie continue de saccrotre rgulirement : elle devrait passer de 81 ans aujourdhui 86 ans en Il en rsulte plusieurs effets conomiques, quil faut savoir encourager ou corriger de faon produire un effet positif.

Dabord, ce mouvement dmographique doit crer une demande de produits et services ddis aux personnes ges suffisamment large pour donner une offre mergente la taille critique de rentabilit. Ensuite, la hausse probable du taux dpargne doit tre canalise pour que cette pargne favorise linvestissement productif. Cette hausse du taux dpargne est attendue mme dans les modles thoriques supposant un comportement de dspargne des retraits du fait dune anticipation par les plus jeunes de leurs besoins accrus de ressources en fin de vie.

La probabilit dune hausse du taux dpargne est renforce par un comportement des personnes ges diffrent de cette hypothse thorique dite du cycle de vie , puisquon constate empiriquement un taux dpargne qui tend saccrotre avec lge.

Par ailleurs, le vieillissement des actifs peut avoir un impact positif sur la productivit du travail. Un des arguments est linvestissement accru en ducation des jeunes gnrations en rponse lallongement de la priode dinactivit en fin de vie.

Enfin, pour revenir la dimension industrielle, lessor de ces marchs de biens et services, par leurs connexits avec certaines technologies cls ou filires industrielles, doit apporter un effet de levier lensemble de notre politique industrielle. Ce surcrot de croissance que pourrait engendrer le vieillissement, cest la Silver conomie.

Lconomique sous contrainte du social Lvolution dmographique fait apparatre un vritable march pour la plupart des entreprises. Le revenu disponible des plus de 60 ans reprsentait en environ 1 milliards deuros.

Pourtant, ce jour, le march de la Silver conomie peine merger. Plusieurs lments peuvent tre avancs pour expliquer ce faible dveloppement. Le plus fondamental est sans doute li la dimension sociale de la question du vieillissement. Vieillir, tre dpendant, sont, dans nos cultures, ngativement connots et dune certaine manire refouls. Le vieillissement dmographique pourtant prvu depuis longtemps, a pris par surprise toute une gnration, ainsi que la suivante. Face une volution aussi majeure des besoins et des conditions de vie, la plupart des personnes se sont retrouves dmunies : prparation insuffisante la retraite, organisation mdicosociale insuffisante Face aux difficults poses aujourdhui par un grand nombre de situations individuelles, la rponse naturelle de la socit est lassistance.

Sil faut se fliciter dappartenir une socit ayant de tels rflexes, il convient den analyser les consquences sur le plan conomique. Il sest agi de modifier des pratiques et de dvelopper un ensemble dincitations, notamment en matire de services la personne ou dquipement des domiciles. Le matre mot est devenu la solvabilisation de la demande. Lconomie sociale et solidaire, les associations, se sont naturellement investies sur le thme de la dpendance et du vieillissement et ont perturb plus encore le signal prix envoy aux personnes ges.

Or, si la prfrence collective en faveur du bien vieillir peut justifier une 2 distorsion vers le bas du prix des biens et services en faveur des personnes ges , la contrainte financire existe galement et aurait tendance limiter une telle distorsion. Surtout, le secteur priv ne sinvestit pas pleinement dans un tel contexte, o son rle aux cts de lintervention publique ou des associations nest pas clairement tabli, et o il a intrt attendre lmergence dune demande subventionne.

Ce rapport insiste sur le fait que tous les acteurs ont intrt une meilleure diffrenciation de la demande. Il existe en effet une part importante de la population des personnes ges qui na pas besoin dtre subventionne et qui reste en attente dun march, sans savoir ce qui relve prcisment de ce qui doit tre sa charge et ce qui pourrait tre apport par une assistance tous.

En effet, il rend employable un grand nombre de personnes peu qualifies et permet desprer dans le temps un financement de cette subvention par la baisse des prestations chmage. En outre, un changement de pratique peut tre espr face une incitation tarifaire qui au fil du temps ne sera plus ncessaire.

Une typologie de la demande Ce rapport propose une typologie dcomposant la population des seniors selon deux axes : ltat de sant et le niveau de revenus. Cela permet de distinguer trois grandes catgories de consommateurs, les seniors en bonne sant, les seniors fragiles et les seniors dpendants, tout en prenant en considration les revenus dont ils disposent.

Chacun des neuf profils types de consommateurs dfinis reprsente un march de taille importante. Les plus pauvres ne sont pas ngligeables en nombre. Plutt que dtablir les fondements de la Silver conomie dans le champ du mdicosocial, trs complexe, le rapport prconise de dployer une offre en cascade dans le champ concurrentiel, qui ciblerait dans un premier temps la clientle la plus solvable, installant ainsi une organisation et une infrastructure sur lesquelles le mdicosocial pourrait aisment se greffer au fur et mesure.

Il serait ainsi possible de faire merger une demande pour certains marchs de la Silver conomie sans ncessairement la subventionner de manire trop importante. En parallle, les plus vulnrables financirement doivent tre aids, non seulement pour solvabiliser une demande qui justifierait des investissements importants du ct de loffre, mais surtout pour lutter contre laccroissement des ingalits, en particulier face la dpendance.

Aider au dploiement dune infrastructure qui permettra dans un second temps le passage au march de masse et le dveloppement de loffre mdicosociale. Enfin, recentrer laide financire sur les plus en difficult. Un levier au plan industriel Pour que la Silver conomie ne soit pas quun dplacement de la demande au fur et mesure du vieillissement, il est essentiel, premirement, quune offre nouvelle merge ; deuximement, quelle soit un acclrateur pour la valorisation de nouvelles technologies.

Sur le plan industriel, la Silver conomie constitue une opportunit formidable. Elle peut offrir un puissant levier des filires comme la robotique, la domotique, les dispositifs mdicaux, etc. Celles-ci sont en effet en manque de marchs, ne sexportant que trs progressivement. Penser le march des seniors revient offrir.

Le rapport propose de faon concrte la mise en place dune organisation favorisant la commercialisation de bouquets de services ou de solutions incorporant des composants de ces diffrentes filires. Ltat peut ainsi rendre possible lmergence de certains marchs en mal de demande, en favorisant linnovation et en coordonnant certaines initiatives prives, sans pour autant mobiliser dimportantes ressources en subventions directes ou en solvabilisation de la demande.

Il sagira dabord de mobiliser des outils de communication et de sensibilisation. Dans un deuxime temps, une prconisation vise la labellisation et la normalisation. La troisime tape est celle de la cration dune infrastructure susceptible de donner un cadre industriel un univers dispers de services et de produits htrognes.

Trois actions cls sont ensuite proposes :. Par ce vecteur seraient embarqus non seulement diffrentes solutions technologiques mais aussi le savoir-faire dexploitation des services ddis.

Une infrastructure La Silver conomie est une opportunit pour le dploiement dune industrie des services. En sappuyant sur une phase naturelle de rationalisation de loffre de services la personne, avec pour pivot la tlassistance, il est possible de coordonner les avances radicales ralises par les mtiers de la domotique.

Pour cela, ltat doit jouer son rle en matire de normalisation et de dveloppement dinfrastructure. En favorisant le recours un bus middleware qui doit tre pens comme une 1 plateforme web standardisant les changes dinformations , ltat permet aux diffrents acteurs dentrer facilement dans le jeu avec leur proposition de services ou de produits, 2 ds lors quils ont obtenu le label et accept dtre interconnects lensemble.

La commercialisation via des bouquets de services doit tre le fait dacteurs habitus jouer ce rle. Les assisteurs sont des candidats naturels cette fonction denseigne , sans que ce soit limitatif. Lensemble sappuie sur la capacit quiper le public cible de hubs domiciliaires box. Lindustrie franaise produit Legrand, par exemple et dploie Orange, par exemple dj ce type de box. Une grande capacit de stockage et un traitement scuris des donnes sont des corollaires obligs, ce que fournissent diffrents oprateurs.

En favorisant la standardisation des changes via le recours un bus, ltat permet aux acteurs de multiplier les bouquets de services et de produits. Ltat prend en charge linfrastructure en tant que bien collectif, ou dfinit la tarification du recours ce bus gnrique.

Ce dernier doit tre le fait dun acteur qui nest pas concurrent des acteurs aval ou amont, pour quil y ait une relle incitation son utilisation, gage dun dploiement rapide des solutions et de perspectives de march tendues pour les entreprises. Le cot de cette prise en charge ou son prix est modeste laune des conomies de gestion et de dveloppement quelle procure tous. La concession offerte aux tlassisteurs qui vont piloter le design et la tarification des bouquets de service gnre une rente importante.

Cette rationalisation qui prsente des conomies dchelle taille et denvergure complmentarit produits pour lensemble de lconomie les place en situation de monopole local de fait.

Il est donc important dlaborer une logique de rgulation. Une autorit spcifique est penser. Un Livret Argent Le taux dpargne des seniors est lev pour diverses raisons. Laversion au risque semble saccrotre en vieillissant, et le souci de transmettre entrane une certaine frilosit sur des placements horizon jug lointain. En termes defficacit conomique, deux objectifs sont donc identifis : augmenter la propension moyenne consommer des seniors et favoriser une allocation plus productive de leur pargne.

Diffrentes solutions sont envisages pour rpondre ces objectifs. Le viager est une solution simple pour rendre plus liquide le patrimoine immobilier des seniors. Il nest que rarement retenu, notamment parce quil est synonyme de dcs et dabandon de son bien. Andr Masson a propos rcemment une variante qui intgre les spcificits comportementales des personnes ges : le VIP ou Viager intermdi partiel. Lide consiste ne vendre que partiellement le bien immobilier, ce qui change tout puisque lintermdiaire financier laisse toujours les ayants droit comme hritiers, simplement il devient cohritier avec la possibilit pour les enfants de racheter leur part, comme dans nimporte quelle transmission.

Cette intelligente modification semble trs pertinente et permettra damliorer la mobilisation du patrimoine constitu par le logement principal. Le rapport prconise de renforcer. Une offre publique, comme aux tats-Unis, permettrait de mieux encadrer le cot effectif de la gestion des viagers, en lien avec des actions territoriales. Renforcer limpact dune telle rforme en favorisant le dveloppement dun march du risque de longvit. Le rapport propose galement de favoriser lmergence de produits dpargne 1 destination de la population des seniors, voire la mise en place dun Livret Argent qui pourrait rpondre aux deux enjeux identifis : inciter consommer plus et canaliser lpargne vers le financement de la croissance.

Le dcs dun conjoint, la dpendance de lpargnant ou de son conjoint, le dmnagement, des travaux dadaptation de lhabitat, le mariage des enfants, le chmage des enfants tout ce qui pourrait tre identifi comme motif pour une personne ge mobiliser son pargne serait propos pour des dblocages significatifs, voire totaux.

La tarification actuarielle de ces dblocages anticips et le cot dune couverture pour garantir cette liquidit doivent tre examins mais, grs en masse, ces livrets pourraient 2 sinvestir partiellement sur le march actions et rendre lpargne plus productive. En cas de souhait dacquisition ou de transformation de lhabitat, des prts prfrentiels seraient consentis, fonds sur un calcul actuariel valorisant au mieux la situation de lpargnant et la dimension statistique du produit de masse.

Au total, il ne sagirait pas dune pargne visant prparer la retraite tant quon est actif, mais bien dune pargne prparant le vieillissement et mobilisant lpargne des gs pour favoriser certains types de dpenses et son orientation vers le financement de lconomie.

En mobilisant des encaisses dans un cadre adapt aux proccupations des retraits, ces produits dpargne pourraient russir la gageure daccrotre la productivit de lpargne des seniors et de favoriser la consommation de ces derniers. Laction de ltat pourrait acclrer ce mouvement et, par leffet de masse, mieux valoriser le dispositif.

Le design du Livret Argent favoriserait une gestion actif-passif plus oriente vers le long terme que celle du Livret A. Mettre en place un Livret Argent, en complment optionnel du Livret A, avec pour objectif de canaliser lpargne liquide des seniors vers le financement de la croissance. Lhypothse est que leffet attendre nest pas une hausse du taux dpargne des mnages mais au contraire une baisse. En offrant garantie et liquidit en cas de besoin, ces produits favoriseraient une rationalisation de lusage de lpargne des seniors, pour certaines dpenses quotidiennes comme pour des dpenses lies aux grands vnements.

Lide, si elle peut paratre contrintuitive, mrite dtre tudie et teste, car les enjeux sont grands une normalisation des taux dpargne des plus de 65 ans aurait un impact significatif court terme de lordre de 1 1,5 point de PIB. Le ministre du Redressement productif a par exemple annonc la monte de CDC Entreprises au capital de Robolution Capital de la socit de gestion Orkos Capital, en affirmant que lesprit de ce fonds rside dans le rapprochement des grandes entreprises et des 1 PME en croissance du secteur de la robotique, sur le modle du METI japonais.

Plusieurs grandes entreprises seront appeles au soutien de ce fonds. Le Fonds europen dinvestissement FEI a galement t sollicit. Un tel principe de corporate co-venture est particulirement adapt la Silver conomie, au sens o de grands acteurs ont intrt faire merger ensemble dautres acteurs qui par ailleurs ne sont pas leurs concurrents.

Les technologies que le fonds pourrait faire merger relvent dj de filires identifies, commencer par la robotique, qui sont dj dotes dun fonds de capitalrisque. La partie dispositifs mdicaux est couverte par InnoBio dfaut de voir un jour natre InnoMedTech , la partie infrastructure technique tant de son ct tourne vers les technologies de linformation et de la communication, plutt bien finances par de nombreux fonds privs de capital-risque.

Toutefois, un fonds de filire ne doit pas tre pens comme un pur fonds de capitalrisque. Il doit travailler lorganisation industrielle de la filire. Sans tre un fonds de build-up2, il doit implicitement avoir un schma industriel comme critre de choix et non une logique de choix de portefeuille rendement-risque. Il doit tre un vritable instrument de politique industrielle valorisant synergies et externalits.

En particulier, dans la chane de valeur, certaines entreprises ont vocation apporter des innovations produits tandis que dautres ont des rles de fabricant pouvant apporter des innovations de procds. Dans le cas de la robotique, le point fort franais est linnovation, le point faible la capacit produire industriellement ces robots innovants. Le plus souvent, les entreprises qui innovent, conoivent et commercialisent ne sont pas celles qui produisent industriellement.

Enfin, certaines entreprises ont besoin dappui des phases qui sont celles du capital-dveloppement internationalisation par exemple. Encapsuler une partie de la filire dans lhabitat collectif ou le homecare Lhabitat doit offrir des solutions multiples aux personnes ges.

Il sagit non seulement de rpertorier les diffrents habitats collectifs ou individuels mais aussi didentifier les choix organisationnels : adaptation du logement ; dmnagement vers un logement adapt ; hbergement titre gratuit ou onreux par les enfants ; hbergement dun tudiant Il sagit galement, en lien avec les recommandations des rapports 1 Broussy et Aquino , de dvelopper un habitat intermdiaire, pens au sein de la cit, et de favoriser les adaptations.

Le prsent rapport sest attach interroger un autre aspect, dans une logique plus industrielle que sociale ou socitale. Il est propos dtablir un suivi analytique des dveloppements des diffrents types dhabitat au sein du Comit de filire, par exemple mais de viser dans une logique industrielle la clientle haut de gamme de rsidences seniors qui seraient quipes des dispositifs de domotique et de service les plus innovants et plus fort contenu en valeur ajoute. Ces projets sont dune taille qui interdit au fonds de filire de jouer un rle important dorientation.

Pourtant une telle offre prsente un fort potentiel lexportation et une agrgation naturelle de lensemble de la filire : il y a l une vritable opportunit. France : anne zro! Afin de favoriser au sein des grands oprateurs ce type de stratgie, il convient de finaliser rapidement un dispositif gnrique infrastructure technique, hubs domiciliaires, enseigne offrant des bouquets de solutions, biens et services acceptant de fonctionner en se connectant linfrastructure.

La seconde incitation doit tre une solution de financement. La Banque publique dinvestissement BPI France pourrait par exemple agir comme rehausseur de crdit sur des missions obligataires destines financer de tels projets lexport ds lors quun certain nombre de jeunes entreprises innovantes JEI finances ou assures par la BPI trouvent l un chiffre daffaires assur.

Il conviendra dimaginer et de valider auprs de la Commission europenne un dispositif qui parce quil vise in fine le financement de lamorage serait autoris car comblant ce que la Commission reconnat comme une faille de march.

Lconomie de financement pour les oprateurs viendrait de la rduction de la prime de risque, le risque tant alors partag entre investisseurs institutionnels et secteur public. Introduction En , un Franais sur cinq tait g de plus de 60 ans. En , la proportion sera de un sur trois. Ce vieillissement de nos socits a suscit de nombreux travaux mettant en vidence les enjeux et les risques que reprsente une telle mutation dmographique. La plupart 1 abordent la question par langle socital ou mdicosocial.

Ce rapport a pour originalit de se fixer pour objet la valeur conomique que peut receler le vieillissement. La proportion accrue de seniors va-t-elle servir de levier des pans entiers de notre conomie, quil sagisse des services ou des technologies avances, du type robotique ou domotique? Peut-on envisager de btir une industrie , au sens large du terme, qui valorise au mieux cette volution majeure?

Si oui, quel rle ltat doit-il y jouer? On est en droit de sinterroger sur la pertinence mme de la dmarche. Pour beaucoup, de manire instinctive, un pays vieillissant est un pays vou plus srement la dcroissance qu lenrichissement. Aux yeux de la science, la mesure des impacts conomiques de la dmographie donne des rsultats peu assurs, tant sur le 2 plan thorique quempirique, comme la soulign le Conseil danalyse conomique.

Une chose apparat pourtant certaine : les seniors vont constituer un march en expansion, et les entreprises auront intrt non seulement sy adapter, mais anticiper les besoins, les produits et les services si elles veulent profiter de cette manne.

Il y aurait aujourdhui millions de personnes ges dans le monde. La France doit pousser ses avantages comparatifs face une population mondiale qui vieillit. Depuis peu, une dynamique sest cre quil faut amplifier et prolonger. Le champ ouvert par lavance en ge est norme. Ces baby-boomers disposent globalement dun pouvoir dachat et dune pargne qui dgagent un march potentiel pour tous les secteurs de lconomie lie lge : bien-tre, adaptation et scurisation du domicile, 1 Citons le rapport Aquino, sur la prvention de la perte dautonomie, et le rapport Broussy, sur ladaptation de la socit au vieillissement mars ; le rapport Pinville janvier , charg dun benchmarking international.

Citons encore le rapport Franco, Vivre chez soi et les deux rapports du Centre danalyse stratgique, Vivre ensemble plus longtemps et Les dfis de laccompagnement du grand ge Tous sont rfrencs dans le corps du rapport. Le vieillissement pourrait ainsi devenir source de valeur pour une conomie comme celle de la France. Cette conomie des seniors sest dj donne un nom, la Silver conomie.

En septembre , la ministre des Personnes ges et de lAutonomie est linitiative dune rflexion sur ce thme : des groupes de travail, auquel a pris part le Commissariat gnral la stratgie et la prospective, se sont efforcs didentifier les freins et les leviers de cette conomie.

Le CGSP a souhait prolonger la rflexion. Le prsent rapport dfinit dans un premier temps les contours de la Silver conomie, en sinterrogeant sur les spcificits de la demande et de loffre.

Dans un second temps, il cherche identifier quel niveau lintervention de ltat se justifie sur ces segments de marchs et formule un certain nombre de prconisations. Le rapport adopte deux partis pris. Le premier est daccorder dans lanalyse une place dcisive la forte htrognit de la population des seniors, qui se rvle la fois dans les revenus et les patrimoines, dans ltat de sant ou lesprance de vie.

Cette htrognit nest pas sans prsenter des risques importants pour notre socit, car elle menace de rompre le contrat social associ notre systme de retraite. Mais dans loptique conomique retenue ici, proche dun marketing stratgique, elle suppose surtout des diffrences marques dans les besoins comme dans les comportements de consommation. Le leitmotiv du rapport est que la Silver conomie ne pourra merger quen prenant appui, au moins dans un premier temps, sur les catgories les plus solvables de la population.

Le second parti pris est de chercher dans la Silver conomie ce qui peut tre un levier pour lensemble de lconomie. Au premier regard, cette conomie des seniors rassemble des activits trs diverses voire disparates. Si elles rendent difficile lemploi du terme filire proprement parler, cette multiplicit et cette complexit imposent comme prioritaire la question de lorganisation de loffre.

Prcisons sil en est besoin quil conviendra de combiner cette stratgie industrielle avec une politique sociale et socitale visant les plus fragiliss. Si le vieillissement ne devient pas un facteur stratgique, nos entreprises perdront en comptitivit. Il y a l indniablement un potentiel de croissance ; lenjeu est de le raliser, voire de le dmultiplier par une action publique ddie. La Silver conomie est un outil de comptitivit pour nos entreprises et nos territoires : il faut que toutes, grandes ou petites, prives et publiques, sen saisissent.

Les dfis du vieillissement Le vieillissement de la population, jusqualors expliqu principalement par lallongement de la dure de vie, sacclre avec lentre des baby-boomers dans la sniorit. Au baby-boom succde le papy-boom. Cette volution dmographique majeure et sans prcdent soulve de nombreux dfis, parmi lesquels le financement des retraites et du systme de sant.

Pyramide des ges de la France au 1 er janvier ge. Financement des systmes de sant, des soins de long terme et des retraites Les retraites, la sant et les soins de long terme sont les branches affectes par les transformations dmographiques.

Dans son scnario central de , la Commission europenne estime 3,7 points de pourcentage de PIB laccroissement des dpenses strictement lies au vieillissement dici en France, contre 5,5 en Allemagne ou 3,3 au Royaume-Uni.

Les soins de long terme constituent le facteur premier daccroissement des dpenses, en raison des besoins importants de prise en charge des personnes fragiles ou en perte dautonomie, notamment parmi les plus de 80 ans. Central and local governments in public life. Slum dwellers and their development and transformation into a neighborhood fully grassroots organisations must contribute to this efort as well.

Although initial funding might come from a onetime project fund the inances for the incremental citywide the community. Tax participation of a variety of community groups who engage and revenues, municipal earmarked development fund, revolving contribute by articulating their needs and voicing their dreams type of basket funding, savings mobilisation, land-based during the process of design, planning, implementation and inance and diferent forms of inancing instruments must be management of slum upgrading activities.

Formalisation and regularisation of slums and their subsequent transformation The area-based plan, the effective in neighbourhoods oicially connected to the city planning and governance systems create the basis for capital investment. The pragmatic tool of streets generates new sources of inance for the city. Integrate slum upgrading in city planning and 1. Isolate slum and implement piecemeal upgrading management projects 2. Design area-based plan introducing urban 2. Improve infrastructure without making urban layout layout with street networks based on priorities of plan and street network communities and city development 3.

Attempt to implement the plan and execute all streets 3. Adopt an incremental and phased approach to slum at once Urban Planning and Management upgrading and prioritised street opening 4. Implement piecemeal project-based slum upgrading 4. Connect the street network in the slums with the intervention on single slums overall city street plan and urban mobility networks 5. Impose unrealistic standards and regulations 5.

Plan urban layouts with appropriate norms for 6. Implement top down approaches to programme rationalising densities and minimizing relocation design and settlement planning 6. Design, plan and execute slum upgrading 7. Initiate programme implementation without certifying programmes in a participatory and consultative legal status of land tenure and property rights manner 8. Take for granted the ability of residents to understand 7.

Underestimate the need for proper mapping and 8. Design slum upgrading interventions on the basis of Disregard disaster management and possible impacts reliable data collection and mapping to the environment Investigate peculiarities of each slum area, their population and the physical and environmental context in which they are located 1.

Strengthen existing economic activities through 1. Disregard connectivity of street networks of slums opening streets in slums that connects with the city with shopping streets and main arteries of the city networks 2. Discriminate the informal economic sector and home- 2. Provide for mixed land use to enable shops, based enterprises commerce and home-based income generation 3. Separate slum upgrading from investment planning activities and urban management of the city 3.

Develop multi-year long term inancing strategies 4. Underestimate the role of property rights and using combination of municipal revenues, external documented security of tenure in boosting business funding and residents contributions for upgrading investment in slums and new housing 5.

Rely only on state budget allocation and government 4. Improve tenure security to enable private investment subsidies to inance programme implementation in home improvement, business development and 6. Assume the full-cost recovery from slum residents and Urban Economy income generation activities disregard their ability and willingness to pay for slum 5.

Attempt to mobilize inance for the whole programme strategies for sustainability of the programme at once without having a demonstration project 6.

Execute strategies beyond the ability to pay of slum 8. Disconnect local economic development strategies residents and foster regular allocation from municipal from street-led citywide slum upgrading programme revenues to support long-term continuity of the 9. Neglect long term inancing strategies to promote programme business and income generation activities and jobs for 7. Mobilize seed capital to kick-start with the key streets slum dwellers within the realm of the programment in key slums to demonstrate the viability of the programme approach 8.

Integrate job creation and vocational training to support entrepreneurship and small-scale enterprises during and after the upgrading process 9. Use streets as basis for incrementally executing and 1. Be ambitious about the ability to implementing all the providing infrastructure networks in prioritised streets infrastructure networks at once. Provide infrastructure and services that are not slum upgrading programme afordable and cannot be sustained by the city 2.

Enhance the beneits of streets by combining their government improvement with public lighting, drainage system 3. Involve residents in setting priorities, design, for sustainable maintenance in the future implementation, operation and maintenance of 4. Ignore the role of pedestrians and street fronts in infrastructure fostering secure public spaces and economies for new Basic Infrastructure 4. Design streets and infrastructure networks to and existing housing maximize usefulness of public space for residents 5.

Disconnect slum upgrading from the costs of 5. Ignore the gender dimension and the role of other 6. Involve all vulnerable groups, youth, women and the groups in infrastructure design and use elderly in the decision about types and norms of basic 7.

Upgrade infrastructure in slums above overall urban infrastructure provision infrastructure level of the city that may cause 7. Upgrade infrastructure in the slums according to the gentriication and distortions overall norms, standards and level of infrastructure 8.

Impose technical norms onto informal contexts of provision found elsewhere in the city slums 8. Revisit technical standards for infrastructure and 9.

Forget the need to incorporate operation and adapt to circumstances found in the diferent slums maintenance of infrastructure networks, facilities and 9. Design infrastructure investment programme in services from the very beginning of the programme connection to street-led citywide slum upgrading Build synergies between infrastructure investments in slums and municipal inance and property tax. Institutionalize street-led citywide slum upgrading 1.

Create ad-hoc project groups to plan and manage into existing local government structures and public citywide street-led slum upgrading programming policies 2. Underestimate the organisational basis and 2. Establish institutional and organisational set-up prior institutional capacity to design and delivery the to commencing the programme programme Governance, Legislation and Participation 3.

Include civil society organizations, the private sector, 3. Disengage local groups academia, service providers and other relevant 4. Disregard existing legal and urban regulatory stakeholders in planning, implementation and frameworks and the overall capacity for programme maintenance management and implementation 4.

Build local capacity and partnerships for street-led 5. Exclude legislators, councillors and other institutional, citywide slum upgrading policy and strategic frameworks guiding the city 5. Institutionalise the relation of the street-led citywide development slum upgrading programme with all strategic plans 6. Exclude post-upgrading mechanisms to sustain of the city maintenance and consolidation; 6. Prepare post-upgrading legislation and guidelines 7. Create government monopoly in programme design 7.

Include public tendering, bidding and transparent and implementation procedures for programme implementation 8. Manage slum upgrading on central government level 8. Institutionalize the participation of citizens in far away from the project site upgrading, including mapping and enumeration; planning and management of streets and public spaces 9.

Institutionalize slum upgrading on local government level Create a forum for participatory decision making Build community awareness of the right to adequate Use streets to form new legal boundaries for public 1.

Disconnect street making from deining plots, and private domains boundaries, public and private domains 2. Look at the continuum of land rights and decide 2. Discriminate against any tenure security options rental which one is appropriate 3. Promote single tenure options 3. Ensure secure tenure, consolidate occupancy rights 4. Dissociate property regularisation from security of Tenure security 4.

Design and negotiate relocation plans when required tenure for settlement layout and opening streets 5. Regularise or privatise land before the urban layout 5.

Include regularisation and formalisation of housing has set street-based plot deinitions and boundaries and buildings on land that is regularised as part of 6. Promote single plot regularisation slum upgrading 7. Ignore citizens property rights and compensation 6.

Use urban layout to create base map for property claims in case of relocation and demolitions rights registration 7. Recognise participatory enumeration and other 1. Disregard any form of security of tenure and property forms of documented rights to deine entitlements rights that empowers slum dwellers in their claim for of the resident population in street-led citywide slum in-situ upgrading upgrading 2.

Discriminate anyone from participating in the slum 2. Include residents and their legitimate grassroots upgrading process Rights based approach organizations in decision making about programme 3. Adopt one single tenure security option design and implementation 4. Adopt forced-evictions and top-down resettlements 3. Accept legal pluralism and customary rights when for street making designing the area-based plan deining the urban 5. Relocate haphazardly and to far away sites without layout and street networks in slums respect for citizenship.

Design and negotiate relocation plans when required for settlement layout and opening streets 5. Implement demolitions and relocation of residents to resettlement sites based on the principle of due process e.

Street-led citywide slum upgrading strategy presents the argument that streets, by being natural parts of city networks and urban layouts, are a potentially vigorous tool to achieve physical improvements in slums as well as to integrate slums into the city, to regularise land and security of tenure, and set the basis for sustained citywide transformation and local economic development.

Growing income inequalities city networks and urban layouts, are a potentially vigorous tool are also creating an urban divide. Ultimately, this part of the urban coniguration of settlements and provide room for the paper made an unequivocal argument that streets are vital for implementation and coverage of basic infrastructure networks the transformation of slums into future vibrant and included while also creating the platform for slum dwellers to exercise neighborhoods of the city.

Even capillarity and connectivity between formerly excluded areas those who have an income are pushed to urban informality. Nevertheless, despite the fact that there is a wealth of global Given current rates of slum formation, it is evident that large experience and suicient know-how in in-situ slum upgrading, part of the population is not capable of accessing afordable there are still many obstacles hindering its implementation.

It is already observed that slums integration of the slums and slums dwellers into the formal city. A twin-track upgrading ofers a tremendous opportunity to explore and approach must be pursued which combines the improvement demonstrate alternative forms and combinations of mixed land of the existing stock of slums through street-led slum upgrading uses, housing typologies and tenure systems promoting compact with the provision of adequate alternatives to slum formation cities, at a maneuverable scale.

Furthermore, these public that involves the supply of housing opportunities at scale in a spaces have great potential to become the site of innovative planned environment to accommodate urban growth. Slum built environments created with green building materials, upgrading and the supply of afordable housing are part and technologies, industries and livelihood activities and alternative parcel of a one single housing policy that must be executed water, energy and sanitation systems.

Lessons learned must a continuous and long-lasting public policy. A second shift is be incorporated into action and lead to the development of to place streets at the core of the slum upgrading intervention guidelines to design, implement and manage citywide slum based on the assumption that streets will leverage the necessary upgrading with the street as its central component. North Africa 1. Implementation in the Governerates of Cairo, Giza and Qalyubeya is informing national policy for informal settlements, which house about 17 million people in and around Egyptian cities.

Since the s the Government of Egypt has been upgrading such areas with basic services and opening streets in them. It consists of residential buildings floors high and some 12 floors high, on plots of 60 to sq m along long and narrow streets. Even though tenure is legal, building on agricultural land is not allowed.

There are hardly any open spaces and lack of light and ventilation is an issue. PDP has been working since its inception with the inhabitants of Boulaq al- Dakrour, local NGOs and local government to assess local needs, support local initiative projects and develop participatory tools for upgrading.

For instance narrow residential streets restrict the movement of vehicles and strangers and are controlled by residents, who also take collective responsibility to clean and maintain them.

They are safe for children and women and function as social spaces. The study also showed the importance of neighbourhood planning where street layout and distribution of commercial activities promotes sustainability.

The Action Guide for Maximising Use Value of available streets and open spaces through a process of participatory action planning builds on these findings and advocates a street-led strategy for upgrading informal settlement in Egypt. In addition the study of user groups, traffic levels and local economies on Hemsfirst Street became the basis for targeted enumeration strategies and, eventually for forming co-operative housing and finance mechanisms.

It has also resulted in a local initiative project for a particular street. In high density settlements with very little public open space, streets serve as multifunctional spaces with changing use through the day and seasons. An understanding of the dynamics of this process is essential for all stakeholders for planning layouts and streets and to enable and regulate activities in a way that maximises benefits for residents and promotes their participation.

Text: - Shehayeb, D. Kipper, M. GIZ: Cairo, Egypt: pp. Photo: Dina K. The approach was applied as a demonstration project in 3 neighbourhoods of the city during period and later replicated in 11 different neighbourhoods of the city.

Example: The project broke new grounds in the country by introducing participatory settlement planning processes, home improvement making use of self-made sun dried adobe technology, cost- recovery mechanisms through rental units and on-site sanitation solutions via double pit latrines.

Through the assisted self-help housing programme linked to the neighbourhood upgrading projects, residents were able to demolish and rebuild their houses according to the urban layout plan, freeing the streets from obstacles and opening up space for the implementation of basic infrastructure networks e.

Experience: The design of the street network took into account the existing practices, the location of poor housing subject to demolition, and the suitability for an open air rain water drainage system Text: - Acioly Jr.

The project was part of a loan request to the World Bank. The project was comprised of several components: squatter upgrading, sites and services, building materials loans, primary off site infrastructure, community facilities, technical assistance and land acquisition.

The critical housing backlog in Lusaka was one of the greatest motives to design and implement the project. The project provided serviced sites in overspill areas adjacent to the squatter settlements 8, plots and in new areas 4, plots. The planning, design and implementation of the new street networks was carried out in a very innovative form. Planning sessions in the project office involved the technical cadre and community leaders as well as residents. Residents participated in the decision and were responsible for demolishing their houses.

Guidelines were developed and a lot effort was done on project communication to inform well the residents. Experience: Decision-making on the routes of the main streets and the overall urban layout of the settlements involved residents, road planning groups and on-site visits and reality checks to assure the best options were taken.

The success of the project generated a number of subsequent initiatives and multi-year programmes to improve the life of inhabitants of these settlements. Text: - Pasteur, David Problems of self-help housing in the third world, R. Skinner and M. Road Planning Group discussing proposals, Lusaka, Zambia. Lusaka, Zambia. It grows 4. It has nearly 4 million inhabitants. The lack of connecting roads was considered critical for the municipality. An infrastructure development plan of USD million identified roads and streets as top priorities next to community infrastructure upgrading-CIUP.

The World Bank finances CIUP and focuses on the main arteries where pavement, drainage and street lighting are implemented. Example: UN-Habitat assists the Municipality of Dar Es Salaam in preparing a participatory citywide upgrading of unplanned and poorly serviced settlements, co-sponsored by the Cities Alliance. The process started in GIS maps were produced to identify all settlements that should be subject to upgrading. Consultative workshops were carried out, working groups were established and priorities were set.

The approach was to focus on the restructuring of each neighbourhood where CIUP intervened so that a concentration of interventions would be achieved. CIUP would create the main streets while the action plan would promote reblocking and land regularisation with occupancy certificates. Experience: The initiative links participatory slum upgrading with the citywide improvement of arterial roads, thereby improving linkages as well as enabling internal improvements in unplanned and underserviced areas through street improvements, reblocking and land regularisation.

It was listed for regularisation in the s but the critical problem of inadequate sanitation and water supply was not solved. In the NGO OPP was established with membership from local residents and professionals and started to address priorities set by residents e. Residents were aware of these problems but did not have the means to afford conventional sewerage solutions nor the technical skills and organisational capacity to develop low-cost and appropriate solutions.

Les extensions, des dispositions stimulantes et adaptables aux changements de la vie Figure Configurations possibles des extensions dans les faubourgs Source : MF B. Pradat B. Comparatif des distances au centre entre les faubourgs et les ZAC. Elle est, de plus, indispensable pour le financement des infrastructures urbaines.

Ces dispositifs permettent de financer directement une bonne partie du montant des travaux. Source : Bazar Urbain. Ces espaces seront appropriables par les habitants plantations, Dans ce cadre, les initiatives 3. La valorisation des trames vertes et bleues par des liaisons douces.

Le SCOT oblige le maintien ou la reconstitution des secteurs de jardins familiaux. Les connexions avec la campagne. Source : MF leur dynamique. Ils po



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